Voila ce que j'ai écrit il y a quelques temps... c'est pas du grand art, c'est rempli de faute de français, mais c'est écrit avec mon cœur et j'ai pris du plaisir à écrire. Maintenant ça fait quelques temps que j'ai pas rajouter une phrase, mais peut-être que l'envie va revenir...
Merci à ceux qui vont prendre le temps de lire L’étang devant la belle capitale des elfes de sang est un endroit reposant pour certain. On peut y observer les aller et venue des habitants de la belle Lune-d’argent. Les commerçants rentrant au pays avec leurs sacs remplis d’étoffes étincelantes venues des quatre coins d’Azeroth, des plus belles pierres brillant sous le chaud soleil du continent et des plus belles peaux traitées avec le plus grand soin le tout ayant pour but d’être revendu au plus fortunés des elfes.
Il y avait aussi tous ses apprentis combattant, espérant un jour faire partie des grands guerriers de ce monde et d’aller combattre l’ennemi loin de leur terre natale, l’excitation de leur apprentissage se lisait sur leurs visages. Les paladins fières d’être des guerriers de la lumières, hautin et prétentieux dans leurs gestes paradais fièrement dans les allés de la ville. Les sorciers de toutes sortes n’hésitant pas a montré leur talents en exécutant toutes sortes de sortilèges en pleine rue, fière de pouvoir manier la magie avec autant de savoir faire.
Dans tout ce mélange de personnes, les gardes de la ville sont les plus impressionnant et ceux que l’on remarque le plus avec leurs beaux habits lumineux et leurs armes aussi grandes qu’eux.
Bien au calme de tout ce raffut, assise au bord de l’étang l’elfe ne se lassait jamais d’observer les faits et gestes des autres. Mais regarder son reflet dans l’eau lui était tout aussi plaisant. Elle prenait le temps de refaire sa coiffure, d’ajuster ses mèches, de se rougir les lèvres en se les mordillant de sorte qu’elle en devient rouge sang. Elle aimait apprécier sa beauté se reflétant sur l’eau immobile du lac, se levant d’un mouvement plus que gracieux qu’on y crut qu’il fut exécuter au ralenti, l’elfe approchant ses mains de sa robe, cette robe était une petite robe légère et blanche, celle qu’elle mettait souvent lors de ses moments de calmes au bord du lac. Son équipement de bataille étant rangé soigneusement au fond de son sac. Avec des gestes précis, l’elfe déboutonna les boutons dans son dos, écartant sa robe pour que celle-ci puisse glisser lentement et délicatement le long de son torse, puis de ses jambes. Un courant d’air frais fit frissonner la belle, de tel que son corps réagit au changement de température. Elle rit de cette sensation agréable. Avec ses mains, elle se décoiffa légèrement, de son visage ses mains descendirent sur sa poitrine, ses seins était encore protégée par une étoffes rouge sang, qu’elle ne tarda pas à enlever. Elle finit par enlever sa culotte avec une rapidité sans faille.
Puis elle plongea dans l’eau, savourant la fraicheur de l’eau sur son corps nu. Elle alla jusqu’au fond de l’étang, y resta quelques secondes, puis grâce a la poussée de ses pieds sur le fond elle remonta a la surface et brisa le calme de l’eau tel une sirène.
Elle sortit de l'eau en quelques mouvements élégants, l'eau ruisselant le long de ses jambes, l'effet de l'eau sur son corps et de la luminosité du soleil faisait briller la belle. Encore nue a la vue de tous, elle s'accroupi et chercha dans son sac sa cape, elle s'allongea sur l'herbe au bord de l'étang et se couvrit de sa belle cape aux couleurs chaude. C'est ainsi que la jeune elfe passait ses temps de pause, a se baigner nue devant la capitale.
La belle s'était endormie, grâce a la chaleur du soleil, ses cheveux et son corps était a présent sec, étendue sur l'herbe, sa cape couvrant a peine son bassin et de justesse sa poitrine, une main prés de sa tête, l'autre allongée loin de son corps, dans cette position, n'importe quel passant aurait pu en profiter, mais il faut croire que les petit buissons entre l'étang et la route principales suffisait a ce que la jeune fille soit caché de la vue de tous.
Tout d’un coup, la belle se redressa rapidement en oubliant même qu’elle était dévêtue. Son corps frémit et se raidit, son visage qui était d’une douceur devint pointu et sombre. Il perdit toute expression pour se figer en une sorte de grimace, ses yeux vert étincelant restèrent immobile quelques secondes et semblèrent même perdre de leur brillance.
Au loin, les cloches de la ville retentirent, l’appel aux armes était annoncé. Les gardes crièrent de rentré dans la belle capitale, les vendeurs qui s’étaient posés à l’entrée replièrent en quelques mouvements leurs étalages, les enfants rentrèrent dans la ville en courant et en s’écriant : « La ville est attaqué ! La ville est attaqué ». En l’espace de quelques secondes le bruit avait fait place au calme, l’on aurait cru que la ville s’était vidée de ses habitants. Mais les apparences sont trompeuses, car au-delà des grandes portes de la ville, des centaines d’elfes vêtu de leurs plus résistantes armures et de leurs plus belles armes qu’ils portaient fièrement. Tous se préparaient à l’assaut de l’ennemi.
Tous sauf elle, elle qui était encore assise, nue, sans protection, à la porté de lance de n’importe quel ennemi. La belle se leva, sorti sa robe et tout son équipement de combat de son sac et les enfilât en quelques minutes, prenant son sac et son bâton, elle se dirigea vers la capitale.
Un regard en arrière afin de vérifier si l’ennemi n’était pas dans son dos, mais rien, rien appart les lointains feux de maisons entrain de bruler, le vent soufflant le bruit de l’ennemi approchant à grand pas.
Elle se dit qu’elle n’avait rien à craindre, que l’ennemi était encore à des centaines de pas derrière elle. Elle continua donc sa course vers la capitale. Quand soudain, elle poussa un cri et s’arrêta net, laissant tomber son sac et son précieux bâton.
Les bras pendus sans vie le long de son corps, les jambes incapables d’effectuer le moindre mouvement, le visage figé, l’on voyait dans l’expression de ses yeux la peur, la terreur, la douleur.
Juste en dessous de sa poitrine, une tache sombre se formait, en quelques secondes, le liquide sombre et chaud avait coulé jusqu’au sol. L’elfe était paralysé, figée dans sa douleur, une flèche empoisonné prisonnière dans son torse. Des larmes chaudes commencèrent à couler le long de ses joues, incapable de bouger elle savait maintenant que son heure était venue. Le bruit des pas des ennemis se rapprochèrent de plus en plus rapidement. Une masse sombre fit son apparition, armes levée au ciel, brillant sous l’éclat du soleil. L’ennemi était la, ils approchaient, ils n’étaient plus qu’a quelques pas d’elle, elle allait finir sa vie piétinée comme une vulgaire feuille morte.
Elle aurait tant aimé pouvoir fermé les yeux et s’imaginer au fond de son étang, elle aurait préférer finir ses dernières minutes au fond de l’eau. Mais non, elle était obligée de regarder droit dans les yeux les derniers instants de sa vie.
Au moment ou elle croyait que tout était perdu, elle les vit, les elfes, ses amis, sortirent par centaines de la capitale, se dirigeant rapidement vers elle. Elle sentit une douleur dans son dos, un des guerrier venait de lui enlever la flèche planter dans son dos, le sang sortit de son corps encore plus vite, tachant encore plus sa belle robe, le poison que la paralysait allait se dissiper, quand ce fut le cas, tous les muscles qui avait été figé se relâchèrent en même temps, incapable de fournir le moindre effort pour rester debout, elle s’écroula à terre.
Avant de toucher le sol, elle senti la chaleur d’un corps sur elle, des bras qui la prenait puis a bout de force, elle ferma les yeux.
*****
Elle vit ses parents décédé quand elle était encore un bébé. Ses parents était tout deux de puissant mage, ils maniaient la magie à chaque instant de leur vie, ils ne pouvaient s’en passé. Un jour gourmand de plus de puissance, ils entreprirent de capturer de l’énergie arcanique à l’intérieur de leur propre corps, espérant ainsi crée une réserve de magie assez puissante et suffisante pour des sorts mortelle et immensément puissant. Au cours du transfère de magie, ils fièrent tout deux une grande erreur en laissant entrer en eux une trop grande dose d’un coup, incapable de se contrôler, ils absorbèrent autant d’énergie que leur corps le pouvait. Apres cette expérience, plus personne ne les revu, trop gourmand, on raconte que l’énergie absorbé les avaient détruit, que leur corps avaient été complètement dissout.
L’elfette était donc devenue orpheline, les personnes qui l’ont recueillie et élevée était des prêtresse, elle suivit donc l’apprentissage de la magie blanche appelée : « discipline »
Durant toute son enfance, ses maitres et tuteur lui apprirent à manier avec dosage les bienfaits de la magie.
Quand son apprentissage fut fini et qu’il fit temps pour elle d’aller parcourir le monde seule (sans oublier d’aller voir ses maitres de temps en temps !). Le jour ou elle reçu la bénédiction de quitter la terre des elfes, ses parents adoptifs lui racontèrent la vérité sur ses parents, ce qu’il s’était passé, et la magie arcanique qui lui coule dans les veines.
- Fait donc attention a toi et à qui tu te lie d’amitié.
- Oui, tu es fragile point de vue magie.
- Ne vous inquiétez pas, je ferrais attention et je prendrais soin de vous donner de mes nouvelles le plus régulièrement possible.
- Tu vas nous manquer
- Je suis fière de toi ma princesse.
Les deux parents prirent leur enfants et la couvrait de tendresse.
*****
- MAMAN !! s’écria l’elfe dans un bond avant de réaliser qu’elle était étendue au milieu de la place. On lui avait retiré ses équipements et les soigneurs étaient autour d’elle.
- Je... Je…. Je… balbutina elle en se recouchant.
Elle eu à peine le temps de se souvenir des derniers événements qu’une douleur insupportable lui transperça le corps. Elle hurla si fort que tous se retournèrent sur elle. Un soigneur commença à lancer un sortilège de guérison afin de tenter de soigner sa blessure.
La belle ne saignais plus, les soigneurs avaient bien travaillé, mais tout ce sang perdu, et les dégâts du poison toxique dans ses veines font que l’elfe devras se tenir au repos pendant un certain temps. Les soigneurs avaient été clairs à ce sujet, pas de sortie, pas de combat, pas d’effort inutile, en résumé, la belle était contrainte à errer dans la grande capitale sans pouvoir y sortir.
Que le temps parait long quand on reste à ne rien faire se dit l’elfe.
Suivant a contre cœur les conseils des soigneurs, la belle ne faisait plus rien. Malgré la grandeur de la capitale, elle ne trouvait rien d’intéressant, passant donc ses journées à dormir.
Et dire que tout mes amis combattent l’ennemi dans le nord… et que moi je suis bloquée ici, a ne rien faire ! l’elfe supportait très mal la solitude et l’inactivité de ses journée. Avant l’attaque, ses journées étaient très rythmées, chassant le gibier ou pêchant le poisson pour concocter de la nourriture savoureuse qu’elle faisait déguster à toute sa guilde. Partant dans toute sorte de quêtes, aidant ceux qui demandaient de son aide. Soignant ses alliés lors d’attaque ou de défense de la forteresse. Aidant a la chute des plus dangereux ennemis. Qu’il lui semblait loin ce temps ou elle n’avais que très peu de temps a elle, temps qu’elle passait a ce baigné et a apprécier avec bonheur le calme.
Maintenant le calme, elle ne le supportait plus. La belle capitale de Lune d’argent était de plus en plus déserte, car tous les guerriers étaient partis au nord, ne laissant que les commerçants et quelques rares apprentis à Lune d’argent.
Un jour en se réveillant, la belle eu l’idée d’apprendre le beau métier qu’est la couture allié avec l’enchantement. Elle se dit que ainsi, elle participait encore a la vie de la guilde et allais pouvoir enfin prendre le temps d’apprendre les rigueurs et la patience de la couture.
Ses parents étaient de riches elfes, ils lui ont donc laissé une grande et appréciable somme d’argent, grâce a cet argent, l’elfe achetas des composants qui lui permet de s’entraîner et d’évoluer dans ses métiers.
Elle était contente, car grâce a sa couture la belle se fit une belle garde robe remplie de… robe bien sur… chaque jour elle en mettait une différente, une sombre, une clair, une rose, une verte, une blanche… une pour chaque humeur, une pour séduire, une pour pleurer, une pour dormir… La passion des robes avait enflammé la belle elfe. Cette passion lui prit beaucoup de temps, et bientôt, le repos que les soigneurs lui avaient conseillé allait prendre fin. Oui bientôt elle allait pouvoir retournée dans le nord et participer a toutes sortes de combat.
Dans l’éternel printemps auquel le continent était plongé depuis des années, l’elfe était assise au bord de l’eau, en dehors des murs de la grande ville. Cela faisait plusieurs semaines qu’elle n’avait pas osé sortir, pourtant aujourd’hui elle était dehors, encore une fois vulnérable aux yeux de l’ennemi. Ce n’est pas parce qu’une fois dans ma vie j’ai eu la malchance de me trouver au mauvais endroit, au mauvais moment que je dois en devenir paranoïaque. Pensa-t-elle en regardant les gardes bien protéger sous leurs armures.
Elle enleva ses chaussures et glissa lentement ses doigts de pieds dans l’eau glacées de l’étang. Comme toujours, le contact chaud froid la fit rire, et l’instant de quelques secondes son visage se mit a rayonner de toute sa splendeur.